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avant la ’houpa
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autres, ou en une seule ligne courte.
9-Vérifier l’ensemble de la
Kétouba
une fois que toutes les mentions ont été
inscrites.
10- Vérifier les signatures des témoins.
11- On écrit la somme promise en mots et non en chiffres. Si le Rav a
écrit en chiffres, la
Kétouba
reste
Cacher
. On peut écrire le montant de la
Tossefète Kétouba
, suivi de la mention :
’Houts Mimataïm Zouz
(en plus des
200
Zouz
).
12- Il est judicieux de toujours disposer d’une
Kétouba
de rechange.
Question n°36 : Comment inscrire le nom d’un témoin si sa rédaction
et celui de son père forment une ligne trop longue ?
Réponse
:
Si ces mentions sont trop longues, on trace un trait sur le mot
Ed
(témoin),
puis on écrit son nom. A la fin de la ligne, on réinscrira la mention
Ed
.
Question n°37 : Est-ce que le
’Hatan
est tenu de donner sa
Kétouba
à
la
Kalla
devant témoins ?
Réponse
:
Certains décisionnaires pensent que cela n’est pas nécessaire
(Choul’han ’Aroukh,
’Hochen Michpat Chap.39, §2 ; Even Haézer Chap.66 et le Rachba)
; d’autre pensent que cela doit
se faire en présence de témoins
(Cf. Tachbats).
L’usage, chez les
Sfard
, est de ne
pas le faire devant témoins puisque l’on considère que les obligations liées à
la
Kétouba
s’imposent dès l’engagement du
’Hatan
, au moment où il lève la
main.
(
Choul’han ’Aroukh
,
’Hochen Michpat Chap.39, §13)
D’une manière plus générale, il
n’est pas nécessaire que des témoins assistent à la remise du contrat, car dès
qu’il se trouve dans la main de son bénéficiaire, il en est automatiquement
propriétaire.
(Choul’han ’Aroukh, ’Hochen Michpat Chap.191, §1 ; responsas Levouché Mordékhaï, Even
Haézer Chap.141, §49)