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avant la ’houpa
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promises semblent irréalistes par rapport à la situation des personnes, un
débat devra avoir lieu devant un
Beth-Din
, avec témoignages des personnes
présentes lors de la signature de la
Kétouba
, pour prouver que les sommes
engagées étaient exagérées.
Question n°32 : Dans quels caractères écrit-on la
Kétouba
?
Réponse
:
Il faut se montrer rigoureux, et ne pas écrire en
Achouri
, c'est-à-dire dans
les caractères du
Séfer Torah
. Il faudra donc utiliser les caractères Rachi ou
séfarades (appelés
’Hatsi Koulmous
), ou bien encore les caractères classiques,
habituellement utilisés en Israël.
Question n°33 : Quels sont les aspects positifs et négatifs des
Kétouvot
pré-imprimées ?
Réponse
:
Les
Kétouvot
pré-imprimées sont prêtes à l’emploi, impeccables et ne
comportent généralement aucune erreur (ce qui n’est pas le cas de celles
qui sont écrites à la main). Etant donné que la formulation de la
Kétouba
est règlementée, le fait que les témoins n’aient ni lu la
Kétouba
, ni même
entendu sa lecture, n’aura aucune conséquence. Ils sont seulement tenus
de vérifier les mentions ajoutées à la main, par le Rav qui préside la
cérémonie. De plus, dans l’hypothèse où surviendrait une erreur, on peut
la remplacer facilement. Cependant, la
Kétouba
« manuelle » comporte
quelques avantages, et notamment celui de l’unité complète de tous les
caractères (mentions fixes, noms des mariés, somme de la
Tossefète Kétouba
,
etc.). La
Kétouba
pré-imprimée restera malgré tout préférable.
Question n°34 : Pourquoi le
’Hatan
doit-il rémunérer la rédaction de
la
Kétouba
?